Not alive without you: chapitre 10 partie 9[LUTRAAH]

Publié le par Lutraah/Lybertys

Mais alors que je croyais que ses doigts allaient s’aventurer entre mes fesses, il se mit à me caresser le sexe pour assez rapidement commencer à me masturber. Je ne fis que réagir. Je fermai les yeux et sentis sa bouche dériver sur mon torse alors que sa main intensifia son geste, sa main passant et repassant encore le long de mon intimité. Il ne fallut que ça pour que je bande à nouveau comme un fou. Ma respiration était plus saccadée à présent, mon plaisir infatigable revint de plus belle. Et alors que je croyais que tout allait se passer comme d’habitude, je sentis Jonas se mettre soudain à califourchon sur moi. Mon sexe en érection touchait ses fesses, me rendant mal à l’aise. Je le regardai et tout à coup repensai à la veille. Je lui avais avoué que je n’avais jamais pris personne. J’étais, dans un sens, encore puceau. Et il comptait remédier à ce « problème ».
De manière provocante et montrant fièrement son corps, il bougea lentement son bassin sur mon sexe en gémissement sensuellement dans le but de me faire craquer. Et cela marchait bien. En sentant son anus collé à mon pénis, une envie subite s’empara de moi, une envie que je n’avais encore jamais eu.
Elle était tout simplement celle de le baiser, de ressentir la sensation de sa chair chaude serrer mon pénis. J’avais vraiment envie de le baiser !
Voir son corps bouger au dessus de moi me chauffant en rejetant la tête en arrière et en gémissant, me rendait fou. Mon regard allait de sa bouche entrouverte, à sa gorge que j’avais envie de caresser, à ses mamelons que je désirais ardemment et à son sexe que je voulais masturber.
Tout à coup, il me regarda de son regard de braise et tout en s’appuyant les mains à côté de moi, il murmura mon nom dans un gémissement et mordit sa lève inférieure.
-    Jonas… me contentai-je de dire, ne sachant quoi faire.
-    Tu bandes comme un dingue. T’as pas envie de baiser mon cul ? T’es si chaud, je suis sur que tu meurs d’envie.
Ses paroles crues et à la fois sexys me rendait en effet dans un état proche de la jouissance.
-    Dis-moi que t’as envie de me baiser… dit-il chaudement en intensifiant un coup de hanche sur mon sexe. Aller… Vas-y.
-    Oui… murmurai-je, résigné et excité. J’ai très envie..
-    De faire quoi… ?
-    Te baiser ! J’ai envie Jonas !
Il prit alors le lubrifiant et sans un mot prit ma main. Il la porta d’abord à sa bouche et commença à lécher un de mes doigts pour ensuite en prendre deux en bouche et mimer une fellation. Je passai de cette vision on ne peut plus excitante à son regard toujours posé sur moi qui explicitait parfaitement ce qu’il voulait. Mordant légèrement mon doigt tout en bougeant du bassin sur mon sexe déjà douloureusement dur, il finit enfin par mettre du lubrifiant sur mes doigts en faisant quelques allers-retours, imitant cette fois la masturbation.
Là, il dirigea ma main jusqu’à son orifice et s’arrêta.
Il voulait que ce soit moi qui prenne l’initiative. Et je me lançai…
Lentement, j’allai titiller son orifice pour le découvrir en y passant un petit moment. Par la suite, j’insérai prudemment mon doigt dans sa chair, une chaleur incroyable s’y trouvant. Le visage de Jonas voulait clairement dire qu’il appréciait la sensation que je lui procurais. De petits gémissements sortaient de sa bouche entrouverte.
Un deuxième doigt entra sans vraiment que j’y réfléchisse. Je n’avais jamais envisagé que cela pouvait m’exciter autant. Je ressentais de nouvelles choses à présent et j’avais envie de connaitre encore plus. Je voulais tout savoir maintenant.
-    Tu vois… dit-il chaudement. Tu réagis exactement comme tous les autres mecs. Tu es fait pour baiser Tom ! Maintenant, vas-y, prends-moi.
Et sans me laisser le temps de me rendre compte de ses paroles, il prit mon sexe dans une main et s’empala dessus lentement. Tout mon corps bouillonna soudainement. Je me cambrai légèrement sous l’effet de la surprise de sensations. Je sentais mon pénis se forcer un passage à l’intérieur de son anus, cette partie si chaude et étroite… Tellement chaude et serrée… Je faillis m’évanouir tellement c’était intense.
Mon gland entra difficilement mais une fois cela fait, le reste rentra d’une rapidité qui me fit chavirer. Comment avais-je pu vivre presque 25 années sans connaître cela ? Est-ce que tous les gays vivaient cette aventure aussi intensivement ? Un tel plaisir était-il ressenti à chaque fois ? Je me croyais en train de mourir, de me consumer une dernière fois…
Jonas lui, malgré que je n’arrivais à aligner plus de deux pensées, fronçait des sourcils mais je le savais, ressentais également du plaisir. La manière dont il avait d’ouvrir la bouche et de respirer me faisait clairement comprendre que malgré la douleur certainement intense qu’il ressentait, n’était rien à côté du plaisir que mon sexe lui procurait.
Cette aventure m’emmena dans un autre monde. Je ne sus me concentrer plus longtemps sur la douleur de Jonas tant mon plaisir était fort. Je me savais très égoïste de penser ainsi mais je n’aurais su contrôler cette abondance de tout cela.
Jonas ne bougeait pas encore et j’étais pourtant déjà au bord de la jouissance, comment allais-je faire une fois qu’il allait bouger ? Et en effet, à peine avais-je pensé cela qu’il se redressa légèrement pour ensuite à nouveau s’empaler, mon sexe sortant et rentrant brusquement dans cet endroit paradisiaque de son corps. Aucun son ne sortit de ma bouche, je n’en n’étais même pas capable.
Nos corps chauffèrent tous les deux, ce qui intensifia d’un cran de plus le plaisir. Quand cela allait-il s’arrêter ? C’était un véritable supplice ! C’était trop fort d’un coup, mon corps entier criait à la jouissance.
Un autre coup de reins de Jonas, plus fort, plus brusque. S’il continuait ainsi, j’allais mourir de plaisir… Un suivant arriva aussitôt puis un autre. Arrivèrent ensuite ses gémissements qui me firent vriller les tympans. Mon sexe continua à gonfler dans la chair à présente détendue mais davantage plus chaude, toujours plus. Il glissait tellement facilement en lui par rapport au début, ça ne faisait qu’augmenter mon envie de jouir.
-    C’est bon.. ? demanda tout à coup Jonas.
-    Oui… me contentais-je de chuchoter en passant mes main sur ses cuisses.
-    Attends encore un peu, ne jouis pas tout de suite.
-    J'essaie... dis-je difficilement. Mais c'est trop bon!
-    Retiens-toi encore, je vais pas tarder à venir aussi...
En attendant, de mon côté, j'étais à deux doigts de jouir. Il fallait vraiment que Jonas jouisse ou alors j'allais le faire sans lui. Je pris alors l'initiative de m'occuper de son cas. Malgré la difficulté de faire le moindre gestes, ma main glissa lentement de sa cuisse jusqu'à ce que, légèrement gêné, je me mette à le masturber. Jonas, qui avait les yeux fermés, les ouvrit avec une nouvelle lueur dedans; celle de l'extase pur.
Sa main vint aussitôt sur la mienne pour que j'intensifie mes mouvements. Je l'avais rarement vu ainsi. Je le voyais en extase, ma main le masturba et mon sexe au plus profond de lui. La vue de son corps en action ne faisait qu'accentuer des sensations que je n'arrivais plus à supporter tant c'était fort.

N'en pouvant plus, je m'arrêtai de le masturber, lui me remplaçant. Je sentais que j'allais jouir et là, je ne pouvais plus rien faire. Je tentai désespérément de ne pas le faire en m'accrochant aux draps mais c'était déjà trop tard. Ma semence se déversa en lui, un plaisir encore plus fort que tout ce que j'avais vécu jusqu'à présent me dévorant littéralement le corps. Je perdis pied au point que je crus que j'allais perdre connaissance.
Jonas, pendant que je jouissais, continuait ses coups de reins plus rapides et tout à coup, j'entendis un cri de sa part qui eut pour but d'accentuer davantage mon extase. Il jouissait aussi, je sentais son orifice se presser encore plus contre mon sexe.
Sans comprendre ce qu'il se passait, je n'était plus qu'à moitié conscient. Mon corps transpirait, j'avais l'impression que je n'allais jamais revenir à moi.
-    Tom.. entendis-je, me semblant que ça venait de loin.
-    Oui... répondis-je sans trop m'en rendre compte.
-    Ça va?
Sa main se posa sur ma joue qu'il secoua légèrement pour me réveiller. Quand j'ouvris difficilement les yeux, il se mit à rire de bon cœur:
-    Bon Dieu, si j'avais su ce que ça allait te faire, je l'aurais fait plus tôt!
-    Jonas... répondis-je difficilement, posant ma main sur son épaule.
-    Quoi..? Ça va?
-    C'était trop bon...
Son rire reprit de plus belle. Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes, tentant de mon côté d'y répondre en même temps de reprendre totalement conscience.
-    J'arrive. Dit-il en me rendant un dernier baiser.
Il partit je ne sais où. Je commençais seulement à me rendre compte de ce que nous avions fait. De ce que j'avais fait. Ca y est, j'avais baisé quelqu'un pour la première fois. J'avais joui en quelqu'un et non le contraire, c'était à mon tour.
Mais je n'avais certainement pas assuré... Mon état avait été tellement pathétique. Je m'étais même presque évanoui...
Une gêne que j'avais du mal à ne pas afficher sur mes joues s'empara de moi.
Je n'avais pensé qu'à moi, même pas au plaisir de Jonas. Le pauvre, ça avait du être terrible. Il s'était surement ennuyé à mourir et 'avais joui plus en se faisant plaisir à lui-même. J'avais sans doute cru que Jonas avait pris son pied parce que tout simplement j'en avais ressenti de mon côté.
Après plusieurs minutes, il revint tandis que j'étais en plein calvaire psychologique.
Son paquet de cigarettes en main et un cendrier dans l'autre, il s'affala près de moi.
Son corps hurlait encore au vice. Je l'avais pris et pourtant, sa virilité était toujours aussi puissante. A nouveau, il montrait fièrement son corps, ne trouvant apparemment pas du tout gênant de montrer son sexe de cette manière.

De mon côté, je me cachai au mieux, posant les couvertures pour couvrir un minimum mon corps.
Alors qu'il posa les yeux sur moi, je tournai vivement la tête de l'autre côté, rouge de honte. Je mis mes bras pour cacher mon torse et entendis un léger rire avec le bruit du briquet.
-    Ne sois pas gêné. Dit-il tout à coup.
-    Gêné de quoi? Feintai-je sans succès.
-    C'était bien... me rassura-t-il.
-    Tu parles. Répondis-je, lancé par sa remarque. J'ai même pas été capable de me retenir. Je suis égoïste.
-    C'est bien d'être égoïste de temps en temps. Et puis, je t'assures que pour une première fois, t'as été parfait.
-    Parfait... ironisai-je. C'était tout sauf parfait.
Je sentis qu'il bougeai et alors que j'étais en train de me martyriser, il posa son bras autour de mes épaules pour ensuite me forcer à poser ma tête sur lui, ce que je fis sans rechigner.
-    J'en ai dépucelé plus d'un et crois-moi, tu t'en es très bien sorti.
-    Justement. Être puceau à mon âge, c'est vraiment...
Mes joues s'empourprèrent tout à coup davantage. Qu'est-ce que j'étais nul...
-    Je suis nul. Rajoutai-je tout haut pour confirmer ma pensée.
-    Hey! S'écria-t-il. Arrête de penser comme ça! Est-ce que tu te rends compte au moins à quel point tu es sexy? Je parie qu'en te voyant, chaque mecs a envie de coucher avec toi!
-    Je suis sur que non. Tu dis ça pour me faire plaisir.
-    Est-ce que tu as compté le nombre de fois où j'ai pu bander depuis hier? Si tu n'étais pas là, je prendrais pas autant mon pied Tom! Ce sont justes des idées qu'on t'as mis dans la tête.

Je compris le sous-entendus envers Quentin mais ne voulus pas en parler. Je n'étais pas prêt...
-    Je n'y peux rien.
-    Je sais et c'est bien pour ça que je ne te critique pas. Mais mets-toi  en tête que les gens que tu fréquentes n'ont peut-être pas forcément raison.
Le silence arriva soudain. Jonas fumait tranquillement sa cigarette pendant que je méditais sur ce qu'il disait. Après un moment, sentant que l'atmosphère était un peu lourde, je tendis ma tête vers sa cigarette et pris une bouffée. Jonas me regarda et alors que j'expirais la fumée, il vint tout à coup poser ses lèvres sur les miennes et me coucha en dessous de lui.
Sans chercher plus loin, de sa main libre, il vint me caresser le sexe. Je réagis aussitôt:
-    Jonas, arrête!
-    Quoi, t'as pas envie? Je te jure que tu es sexy... Rien que de te voir tirer sur cette clope, ça me donne des pensées pas catholiques du tout.
-    Tu as de la nourriture pour un régiment, tu vas pas le laisser là.
-    C'est quoi cette excuse bidon?
-    Te sens pas obligé...
-    Obligé de quoi? Te baiser?
Il écarquilla les yeux et s'exclama:
-    Non mais ça va pas? Je vais te montrer ce que je sais faire et on verra si tu crois toujours que je me sens obligé. 
Il écrasa alors sa cigarette, m'écarta les cuisses pour se mettre entre elles et m'embrassa à pleine bouche.



suite du chapitre; partie 10:
  Not alive without you: chapitre 10 partie 10[LUTRAAH]

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M
ahhh enfin il l'apris...bon meme si son état final est catastrophique c'esdt déjà bien!! XDbon je vais lire la suite(vahcment long t'es chapitre^^)
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